Travailler sur des événements, participer à leur organisation, s’y impliquer… Vous, chers lecteurs, vous savez qu’il n’y a rien de plus beau.
Pour moi, ce n’est pas un simple métier mais une vraie passion et une fois mordu(e) (ou contaminé(e) par le virus – métaphorique – à vous de voir), on est conquis pour de bon. Visiteurs, participants, clients… Rien n’est plus beau que d’offrir un moment inoubliable à vos invités.
Métier ou passion, je laisse à chacun(e) le soin d’en décider et de l’interpréter à sa manière. Mais je pense que toute personne qui s’aventure de temps à autre dans ce secteur partage le même sentiment.
Ce n’est pas un job ordinaire, avec des horaires classiques…
Et c’est exactement ce qui me ‘pèse’ actuellement. L’appel du terrain, l’envie de se retrousser les manches, le sentiment d’être devant la vitrine d’un magasin de bonbons mais de ne pas pouvoir y toucher.
D’où mon choix. Le choix de mettre un terme à mon rôle à plein temps au sein de l’Event Confederation afin de laisser à nouveau libre cours à cette envie et cette passion.
Ceci est probablement mon dernier avant-propos en tant que Confederation Manager. Une dernière révérence, donc, mais avec la ferme intention (en concertation avec le conseil d’administration) de laisser la confédération entre de bonnes mains.
Je tiens à remercier expressément chacun(e) d’entre vous pour ce voyage incroyable. Parfois en eaux calmes mais bien souvent dans les flots tourbillonnants d’une rivière de montagne déchaînée. Et toujours avec un objectif commun en tête. Ne rien lâcher, rester soudés pour améliorer, consolider et mieux armer notre secteur pour l’avenir.
Je terminerai par un appel.
L’Event Confederation est le fruit de la collaboration. Prouvant ainsi que cette voie est la seule et unique voie à suivre. Donc, chers entrepreneurs, affiliez-vous à une fédération afin de soutenir les efforts de l’Event Confederation. Et que ce soit un appel durable : ce n’est qu’en restant unis que nous pourrons aller de l’avant !
J’en suis plus que jamais fermement convaincu.
Stijn Snaet
