Q1 s’est envolé, quelques points forts et points de travail

Le premier trimestre de l’année 2024 a été chargé, mais productif et inspirant. Nous avons non seulement lancé nos premières étude sectorielle et étude d’audience auprès des professionnels de l’événementiel et des visiteurs. Nous avons également organisé notre congrès annuel Echo24 et adapté notre site web. Ce dernier ne contient pas seulement des nouvelles et informations sur qui nous sommes et ce que nous faisons, mais également des articles pour et sur le secteur événementiel. Avec notre toute nouvelle académie, nous avons déjà posé les fondations d’une véritable plateforme de connaissances.

Nous poursuivons également l’élaboration d’une vision d’avenir pour notre secteur et notre confédération : où voulons-nous aller en tant que secteur, comment les fédérations peuvent-elles mieux travailler ensemble et comment la Event Confederation peut-elle jouer un rôle de premier plan à cet égard ? Un exercice de réflexion qui nécessite beaucoup de consultation, de diplomatie et de soutien, mais qui est indispensable pour devenir un secteur fort et uni que nos politiciens ne peuvent plus ignorer.

Nous ne perdons pas de vue l’avenir, mais entre-temps, nous traitons également de nombreux dossiers en cours dans lesquels nous représentons les intérêts de notre secteur. Au cours du dernier trimestre, par exemple, l’accent a été mis sur les dossiers des commissions paritaires, les emplois flexibles, l’interdiction du PET et de la cannette, l’assistance médicale lors d’événements de masse, les obligations en matière de TVA, les lignes directrices pour les méthodes de paiement en ligne et le dossier sur la qualité de l’air à l’intérieur.

Au cours des trois derniers mois, nous n’avons pas non plus hésité à nous adresser aux médias. En exemple, notre nouveau manager d’Event Confédération s’est longuement présentée dans un article d’Experience Magazine. Elle a été invitée dans le studio d’Eventplanner pour parler de notre mémorandum et des défis auxquels est confronté notre secteur événementiel. Nous avons également publié les résultats de nos études dans les journaux spécialisés, tels que Event Online, ainsi que dans la presse publique, telle que HLN. Et nous avons publié des dizaines de messages sur nos médias sociaux et de nombreux articles sur notre site web.

Nous avons également participé à de nombreuses réceptions de Nouvel An et réunions de printemps pour parler de notre secteur et de l’importance de s’unir (encore) plus fortement. Nous nous sommes adressés à plusieurs établissements d’enseignement supérieur et universités, et organisations publiques qui nous ont donné la parole. Par exemple, notre Confederation Manager était l’orateur principal lors de la réunion de printemps de la VVSG pour les villes et municipalités flamandes pour y parler d’une meilleure coopération/échange entre les municipalités et le secteur événementiel professionnel. Ce que nous visons dans notre mémorandum, nous le mettons également en pratique.

Depuis le début de cette année, nous accueillons au sein d’Event Confederation plusieurs nouveaux partenaires ainsi quune nouvelle fédération sectorielle. Avec l’Association Belge des Spectacles, nous siégeons désormais ensemble au sein de la commission paritaire 304. Curieux si nous pourrons accueillir d’autres fédérations actives dans notre large secteur événementiel le trimestre prochain. Que de belles étapes, mais surtout des progrès tangibles dans notre ambition de nous unifier de plus en plus.

Mais il y a encore du pain sur la planche. Alors que nous sommes déjà fortement ancrés dans les réseaux flamands, nous constatons qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir dans régions francophones. Ainsi, une meilleure coopération avec les organisations wallonnes figure en tête de notre agenda pour la période à venir. Après tout, ce n’est pas pour rien que nous avons choisi Vinciane Morel de Westgaver comme présidente francophone d’Event Confederation, qui a guidé notre secteur à travers de nombreuses crises depuis 2020.

Mais comme toujours : pour cela, nous avons besoin de données, et donc de votre aide. N’oubliez donc pas de répondre à notre deuxième enquête sectorielle de cette année. Un petit effort, mais une grande valeur ajoutée pour la professionnalisation de notre secteur.